La Commission Nationale des droits Humains (CNDH) s’est réunie le jeudi 27 février 2020 pour faire une déclaration portant sur plusieurs sujets d’actualité. La situation sécuritaire de la région de Tillabéry, la polémique née de l’audit diligenté au Ministère de la Défense nationale, et la crise et la crise qui oppose le gouvernement nigérien et le Syndicat National des Enseignants Chercheurs du Supérieur (SNCS) des Universités publiques du Niger.
Dans ladite déclaration, le rapporteur de la Commission Nationale des droits Humains (CNDH) Moussa Talibi, a salué l’audit diligenté par le ministre de la Défense nationale, relativement à la traçabilité et à l’efficacité de la dépense publique militaire et encourage de ce fait les autorités à lui donner une suite judicaire : « les drames d’Inates, du Chinogodar et bien d’autres qui ont endeuillé notre pays tout entier, requièrent que les responsabilités soient situées pour respect à la mémoire de nos vaillantes forces de défense et de sécurité et de toutes les victimes y compris les femmes et les enfants fauchés par le mal. Par ailleurs, la CNDH se félicite des résultats appréciables enregistrés sur le théâtre des opérations par notre pays suite à la nouvelle forme de collaboration entre nos forces de défense et de sécurité et les forces alliés. La CNDH invite les FDS et les populations civiles à garder constamment les yeux ouverts en restant vigilant ». affirme-t-il.
Ensuite Moussa Talibi s’est penché sur le deuxième axe de cette déclaration où la CNDH s’est prononcée sur le bras de fer entre le gouvernement et le SNECS. La Commission a notamment rappelé les points sur lesquels les deux parties s’étaient entendus : « A l’issue des négociations les deux parties avaient convenu de ce qui suit : continuer à discuter en vue d’une réforme globale du système de gouvernance des universités publiques du Niger ; définir les critères conscientiels auxquels doivent répondre les candidats au poste de recteur et de vice-recteur ; mettre en place un comité paritaire de réception et de sélection des candidatures après un appel à candidature et conformément aux critères arrêtés ;être candidat porteur du programme défini par le gouvernement ;faire signer un contrat de performance avec le ministère de l’enseignement supérieur de la recherche et de l’innovation et les candidats au poste de vice-recteur et de recteur » a indiqué Moussa Talibi.
Pour la CNDH, les points du désaccord entre les deux parties, ce qui n’a pas pu permettre d’aboutir à la signature du protocole résident dans la soumission de la liste des candidats ou tandems obtenue par le comité paritaire au choix de la communauté universitaire et la nomination par discrétion du gouvernement, les candidats ou les tandems sur la base de la liste proposée après enquête de moralité.
Notons que le gouvernement avait fait adapter la loi n°2019-05 du 06 Mai 2019 qui lui donne la prérogative de procéder à la nomination du recteur et vice-recteur dans toutes les universités publiques du Niger. Suite au déclenchement du mot d’ordre de grève du 24 février 2020, le SNECS entre dans le deuxième mois du mouvement pour exiger le retablissement du mode électif du recteur et de vice-recteur des universités publiques du Niger et le règlement de tous les droits statutaires des enseignants-chercheurs et chercheurs dans les universités publiques en souffrance. Il est également à noter que l’Union des syndicats étudiants des Universités publiques du Niger a donné un ultimatum de 5 jours aux deux parties pour trouver un terrain d’entente qui expire ce vendredi 28 février 2020.
Mina Abda (stagiaire) pour Niameyinfo.
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