Le Cadre National de concertation sur la Finance Inclusive a tenu sa quatrième et dernière réunion de l’année ce lundi 12 décembre. Au menu, la présentation des travaux de deux comités, des débats et des recommandations.
Conformément au chronogramme établi à la mise sur pied des quatre groupes de travail réunissant les principaux acteurs du secteur, ce lundi, sous la houlette du Secrétariat Exécutif de la Stratégie Nationale de l’Inclusion Financière (SE-SNFI) et de l’UNCDF, en sa qualité de principal bailleur du Cadre National de Concertation sur la Finance Inclusive, une 4ème réunion s’est tenue ce lundi. Le Groupe de Travail sur la Règlementation et les Incitations (GTRI) et le Groupe de Travail sur le Suivi du Marché et des Acteurs (GTSMA), étaient à l’honneur.
Sous la présidence d’Olivier Yara, Country Lead de l’organisme onusien au Niger, les présidents des deux groupes, notamment M.M Djibo Abdoul Aziz et Kaka Maïtawaya, ont livré les résultats de leurs travaux qui ont porté sur l’analyse de la finance islamique dans le contexte nigérien et des insuffisances qu’elle regorge ; puis ont proposé des mesures d’amélioration à envisager. Ils ont également exposé sur l’offre des services et produits financiers, les contraintes opérationnelles du marché, l’environnement et la législation ; les opportunités de l’inclusion financière et leurs risques.

Ces présentations ont donné lieu à d’enrichissants débats qui ont débouché sur des recommandations. A en croire Olivier Yara, ces synthèses seront adressées aux autorités compétentes en vue de leur mise en œuvre afin de faire de la finance inclusive une réalité au Niger. En effet, dans l’optique de « ne laisser personne de côté à l’ère du numérique », UNCDF poursuit ses actions dans deux domaines majeurs : l’éducation financière ainsi que l’appui au développement et à l’usage des services et produits financiers inclusifs dans les zones reculées du pays notamment à l’endroit des femmes, des jeunes, des TPE et des acteurs du secteur rural.
Waliyullah Tajudeen pour niameyinfo.
La finance islamique va vraiment permettre la bancarisation de tous les musulmans parce qu’il y a encore ceux qui sont encore pessimistes sur la bancarisation ordinaire.Ils pensent surtout sur la pratique de l’intérêt que font les banques actuelles.Donc, la finance islamique est un nouveau concept pour ces nigériens réticents à la bancarisation. Déjà certaines banques classiques ont commencé à ouvrir des guichets aux produits islamiques, mais certains pensent que insuffisant pour parler de la finance islamique au Niger. Aussi, certaines des ces banques classes ont dores et déjà emprunté ce vocable de banque islamique, mais n’offrent pas exactement les produits de véritables banques islamiques.En tout cas les produits de la finance islamique seront les bienvenus dans le milieu des affaires du Niger.
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